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Revue de Presse

Revue de Presse de la Loterie Erotique des Demoiselles

VERSION SALLE

CATHERINE MAKEREEL | LE SOIR | LE 22 DÉCEMBRE 2014

« (…) la tonalité générale du spectacle est rigolote, bon enfant, d’un érotisme plus gourmand que lubrique. On rit de les voir déballer leurs préservatifs durables, lavables ou recyclables, gants de Vénus en dentelle avec frou-frou de soie, en pure laine tricoté main ou en cotte de maille. On sourit devant leur recette de lubrifiant à base de légumes oubliés avec épluchage (effeuillage?) suggestif. On glousse devant leur invention d’un langage codé à la tapette de mouche, inspiré des messages que les belles d’antan faisaient passer à leurs soupirants à l’aide de leur éventail. Et on soupire de plaisir devant leur strip-tease final, magique numéro de burlesque impliquant une troisième et inattendue polissonne. On ne vous en dit pas plus! »

 

JUSTINE GUILLARD | SURICATE MAGAZINE | LE 21 DÉCEMBRE 2014

« Ensemble, se faisant écho l’une à l’autre avec une perfection déroutante, elles animent le jeu de petites découvertes faites en joutes aux idées reçues : détournement d’objets, révélations anatomiques, explorations à la tonalité mystique, qui veut quoi ? Et ne vous inquiétez pas : en cas de problème, un service après-vente est inclus. Dans La loterie érotique des demoiselles, le duo mauve et jaune est parfait et absolument préparé. Chaque déplacement est juste, calibré, réalisé avec une élégance adéquate et la collaboration de Mademoiselle A. et Mademoiselle C. fonctionne à merveille. Ici, l’humour ne tombe pas dans le piège du graveleux et le mystère propre à l’intimité est employé avec talent. A travers ce voyage érotique, les demoiselles ont dans leurs boîtes tout un lot de surprises qui vous feront voyager au pays des merveilles. Un spectacle à voir et qui pourrait même vous donner quelques idées.»

 

MURIEL HUBLET | PLAISIR D’OFFRIR | LE 20 DÉCEMBRE 2014

« Subtil, délicieusement sulfureux, grivois, mais jamais vulgaire, ce spectacle d’un pur burlesque décalé fait vibrer la corde de la sensualité, de l’intime, mais toujours avec une savoureuse et impudique pudeur. Coup de chapeau à ces souriantes hôtesses d’un soir (en alternance Coline Zimmer ou Marie Jacquet, Mélanie Delva ou Lise Dineur) qui jouent adroitement entre l’émoustillant et le torride avec des mines aguicheuses.  Elles adoptent des poses langoureuses, lancent des  regards polissons et nous emportent dans l’univers suggestif, troublant et voluptueux imaginé et mis en scène par Brigitte Baillieux.»