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Revue de presse

« Le comédien sait redonner vie, avec pertinence, à une quantité considérable de souvenirs personnels mais aussi au journal écrit par son père, à des articles de presse de l’époque ; nous sommes dans les années 1960. Le tri dans cette enfance extraordinaire permet à un art verbal d’émerger, avec ses fantômes surgis du passé. D’ailleurs, le comédien est lui-même extraordinaire. Il semble si apparenté à ceux qu’il joue qu’il réanime la flamme de toute sa tendresse, de son âme d’enfant jamais disparue. » –  L’Humanité – juillet 2010

« François Houart construit une fable ludique » La terrasse  – Avignon 2010

« A travers une mise en scène absolument bouleversante, François Houart, seul en scène, retrace ses moments de vie vécus en compagnie d’une baronne polonaise, d’ex-officiers russes, de réfugiés slovènes, hongrois, croates et bien d’autres. Jouant habilement de l’absence de ces interlocuteurs, il utilise des paires de chaussures pour personnaliser ces rencontres (…) une pièce absolument époustouflante». La Dernière heure – Août 2010

« Seul en scène, François partira à la rencontre de son personnage, de l’enfant qu’il était, du cuisinier du home, père de substitution, et d’une pléiade de fantômes convoqués par la coïncidence des objets de la scène. Les uns et les autres prendront le relais de la pudeur de l’auteur. Ainsi s’annonce ce Carré des Cosaques aussi drôle qu’émouvant, aussi surréaliste que burlesque et enfantin. » Le Soir -14/11/06 –  Michèle Friche

« Un auteur-acteur, un cuisinier, une pléiade de fantômes …et, seul sur scène, François Houart, qui les réanimera de ses souvenirs. Théâtre dans le théâtre, ce Carré des cosaques s’annonce poétique, surréaliste, burlesque, émouvant. » C’est aussi un travail de mémoire, explique Houart. J’ai passé mon enfance dans un home de vieillards réfugiés de l’Est, tenu par mes parents à Braine-le-Comte. Ce Carré des cosaques, c’est leur coin de cimetière. Il fallait que le gamin que j’étais parle d’eux… » Brigitte Baillieux de la Maison éphémère a porté ces sédiments autobiographiques à l’universel et à la théâtralité» Le Vif/L’Express 10/11/06 – Michèle Friche

« Un spectacle bourré de tendresse »  Le Républicain Lorrain – 05/12/06

« Houart ne cesse de jouer avec la présence, l’absence, l’illusion théâtrale. Il s’aventure dans les chemins de l’humour, ceux de la tendresse, ceux de la révolte aussi. Peu importe qu’il soit seul sous les projecteurs. L’univers auquel il réfère renaît. Il réussit l’équilibre entre la misère exprimée et la volonté de vivre. Il sert de passerelle entre les vivants et les disparus, entre le présent et un passé oublié qui ressemble pas mal à ce présent. Précisément.  Le Courrier de l’Escaut – 14 mars 2007