Thelonious Monk, sculpteur de silence – coproduction 2024

“Quand j’ai rencontré la musique de Monk à 20 ans, ce fut un choc, une bombe, une tornade. Monk me touche : je l’écoute et je pleure, je le vois et je fonds.”
Éric D’Agostino donne, pour la première fois, la parole à la star vénérée aujourd’hui par tous les jazzmen : Thelonious Monk, le pianiste qui n’a jamais parlé, celui qui s’est réfugié dans les silences de sa musique. Le spectacle raconte les difficultés pour un artiste hors norme de vivre dans un monde hostile à la folie et à la différence.
Cette parole imaginaire de Monk dialoguera avec sa musique, ses compositions bouffonnes, fantasques, tordues, taquines… Le tout réarrangé par un quartet de passionnés de l’artiste et mis en scène par Guy Theunissen !
“(…) j’écris mon propre chemin et mon chemin est courbe, je tournoie, je circonvolutionne, je danse et je ris mais je ris, à piano déployé. Je délire, j’angoisse et me réfugie entre les touches blanches et noires de mon clavier.
Monk bipolaire, fêlé, taré ? C’est moi.
Je m’appelle Monk, Thelonious Monk…
Je suis pianiste de bar et si je n’avais pas rencontré le jazz, je serais devenu clochard. “
PROCHAINE(S) REPRÉSENTATION(S) !
15 janvier 2026 – Open Jazz Festival de Comine (café philo) https://www.openmusicjazzclub.be/online-ticketting/
Avec Éric D’Agostino (texte et contrebasse), Paolo Loveri (guitare), Michel Mainil (sax), Patrick Wante (batterie) | mise en scène Guy Theunissen | scénographie Marjolaine Guillaume | vidéo Grégory Hiétin | lumière Simon Renquin | Visuel © Alix Dieu | Photos 1 à 6 © Grégory Hiétin
Un spectacle d’Éric D’Agostino, coproduit par La Maison Éphémère et Le Grand Miroir. En partenariat avec Septem, avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la Wallonie et du Brabant wallon.
À l’attention des pros
- Spectacle enregistré au catalogue TARA sous le code 411-2.
- Dossier et captation disponibles sur demande.
- Texte publié aux éditions f deville.
