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Revue de presse

Un spectacle délicat sur la mémoire, la mort, la vieillesse, les souvenirs qui s’envolent et la vie qui s’échappe. Un texte sensible, à la fois personnel et universel, incarné tout en nuances par un quatuor de comédiennes et un danseur. Camille de Marcilly. 18 janvier 2012 –  LA LIBRE Belgique

La scénographie signée Patricia Saive qui mêle des tissus aux motifs rétro, des bâches en plastique et des effets de lumière étonnants fourmille de belles trouvailles visuelles et accentue le flou entre onirisme et réalisme. (..) Une belle mise en scène, délicate et tout en nuances, de Brigitte Baillieux. Camille de Marcilly.  12 janvier 2012 – LA LIBRE Belgique

De cette histoire très personnelle, Brigitte Baillieux en extrait un spectacle poétique et universel. Sa voix se voit démultipliée sur scène par l’intervention de trois comédiennes (Candy Saulnier, Cachou Kirsch et Mathilde Schennen) face à une maman à  la pensée évanescente (une excellente Françoise Oriane tantôt petite fille perdue, tantôt veuve éperdue). La bonne idée étant de faire intervenir le mouvement : Alexandre Tissot entraîne la distribution dans une danse de la mémoire pour un théâtre gracieusement chorégraphié.
Nicolas Naizy. 13 janvier 2012 – MéTRO

Un spectacle tout en finesse et poésie. Pudeur et sensibilité. Autrefois il faisait jour jusqu’à minuit est le fruit du travail de toute une équipe qui intensifie et donne toutes ses lettres de noblesse aux mots de Brigitte Baillieux. Muriel Hublet. 13 janvier 2012 – WWW.PLAISIRDOFFRIR.BE

Un mort qui n’a pas été exposé au bon endroit. On ne sait pas quoi en faire. On le trimballe. Passeuse de romans, de récits, de lettres ou de paroles brutes de la page à la scène, Brigitte Baillieux mêle les disciplines et compose des spectacles personnels et sensibles qui interrogent la frontière entre réel et fiction. Avec Autrefois, il faisait jour jusqu’à minuit, elle livre pour la première fois sa propre écriture. Une histoire de deuil, de transmission, de perte de la mémoire – traversée par la figure de Jim Harrison. Un spectacle où la parole se suspend par instants. Pour laisser place à la vitalité du corps qui danse. (..) Un hymne à la valeur inestimable de la vie, si dérisoire et si fragile.  Psychologies magazine – Janvier 2012

Cette pièce de théâtre très poétique raconte, en douceur, la mort et la maladie d’Alzheimer. En marche – 5 janvier 2012

Un spectacle plein de poésie, d’une grande discrétion avec quatre personnages dotés d’une éloquente sensibilité et d’un sens profond de l’humain. C’est un spectacle émouvant, remarquablement interprété (..) Quel bonheur ce spectacle ! Nous vibrons avec les personnages ! Nous baignons dans un univers poétique qui nous fait du bien. Cinemaniacs.be  janvier 2011

Autrefois, il faisait jour jusqu’à minuit fait preuve d’une étonnante inventivité. Une inventivité qu’on retrouve tout au long de la pièce à travers, par exemple, les passages d’une voix à une autre – tel un écho qui se perpétue jusqu’à la mort – mais aussi le mélange constant entre anonymat et familiarité des personnages ainsi que le décor, pour le moins particulier, qui se meut, subtilement créé par les jeux de mouvements, de drapés et de sonorités.  www.cultureetco.com – 23 janvier 2012